Un nombre croissant de Canadiens prospères quittent le pays, et cet exode ne peut être ignoré. Ce qui n'était autrefois qu'un faible courant est devenu une vague puissante, avec de plus en plus de Canadiens fortunés quittant le pays pour chercher refuge à l'étranger. Et ce départ massif ne concerne pas seulement l’argent — il reflète des frustrations plus profondes. Cet article explore les trois principales raisons derrière cette tendance grandissante.
1. Fardeau fiscal élevé
Le Canada est devenu un endroit où le succès est pénalisé. Pour ceux qui gagnent le plus, plus de la moitié de leurs revenus s'évapore dans un labyrinthe interminable d'impôts, taxes et cotisations. C’est une réalité brutale : plus ils prospèrent, plus le gouvernement prend une part considérable de leurs gains. Que leur reste-t-il ? Très peu en comparaison de ce qu’ils ont investi pour bâtir leur patrimoine, et c’est pourquoi tant de personnes cherchent refuge dans des pays qui comprennent la valeur de récompenser le travail ardent, et non de le décourager.
Il ne s’agit pas seulement des impôts sur le revenu personnel qui étouffent les riches. Les impôts sur les gains en capital frappent fort lorsqu’ils essaient de faire croître leur patrimoine par des investissements. Les propriétaires d’entreprises doivent faire face à des taux d’imposition sur les sociétés qui freinent l’innovation et l’expansion. Les taxes de vente, les impôts fonciers, les frais gouvernementaux et autres cotisations s’ajoutent encore plus, laissant les personnes prospères avec le sentiment de financer sans fin des programmes sociaux dysfonctionnels qui ne leur apportent aucun avantage direct, ou des politiques gouvernementales auxquelles ils n’adhèrent pas.
De nombreuses personnes se demandent si leur argent est utilisé de manière appropriée. Un exemple souvent cité est le financement des chirurgies « d’affirmation de genre » pour les mineurs, que certains voudraient non seulement interdire, mais aussi jugent inconcevable de financer avec l’argent des contribuables. Un autre problème est l’allocation de leurs impôts à des guerres étrangères auxquelles ils jugent n’avoir aucun lien. Pour ces individus, l’idée que leur argent soutient des politiques qu’ils rejettent profondément a exacerbé leur frustration envers le gouvernement canadien.
Il ne s’agit pas seulement d’argent : il s’agit de valeurs, de justice et du droit de profiter du fruit de leur travail. Ils sont fatigués d’entendre constamment « Les riches doivent payer leur juste part », alors qu’en réalité, ils paient deux, trois, voire quatre fois plus que ce qu’ils estiment juste.
Pour beaucoup, ce fardeau fiscal est devenu un point de rupture. Les ajustements constants du gouvernement en matière de politiques fiscales semblent seulement alourdir leur charge, sans fin en vue. Ils en ont assez de payer pour un système qui leur semble de plus en plus injuste. Alors, ils font leurs valises et partent pour des pays qui apprécient et récompensent leur succès : des endroits où ils peuvent garder une plus grande part de leurs revenus et protéger leur patrimoine contre un régime fiscal envahissant. Il s’agit de reprendre le contrôle et de refuser d’être un distributeur automatique pour un système qui ne les sert plus.
2. Meilleure qualité de vie ailleurs pour moins cher
Le Canada, autrefois symbole d’opportunités et de prospérité, ne fournit plus la qualité de vie qu’il promet — surtout pour ceux qui ont travaillé dur pour bâtir leur richesse. Le coût de la vie qui explose, les normes de santé en déclin et les tensions sociales croissantes les poussent à regarder ailleurs.
Avec ces préoccupations qui s’accumulent, même les Canadiens les plus aisés trouvent de plus en plus difficile de justifier de rester dans un pays où leurs valeurs et priorités financières sont de moins en moins alignées. En conséquence, de plus en plus de personnes explorent des alternatives à l’étranger, où leur patrimoine peut croître davantage et leur qualité de vie s'améliorer de manière significative.
Des pays comme le Costa Rica, Panama et Paraguay, ne sont pas seulement de magnifiques destinations de vacances : ils deviennent des lieux de choix pour ceux qui recherchent plus de liberté et de luxe, sans une étiquette de prix exagérée. Ces pays offrent un système fiscal territorial, ce qui signifie que vous ne payez des impôts que sur les revenus que vous gagnez à l’intérieur de leurs frontières, et non sur vos revenus mondiaux. Comparez cela au Canada, où chaque centime que vous gagnez, où que ce soit dans le monde, est imposable par les autorités fiscales.
Imaginez vivre dans un paradis tropical, où votre maison de luxe coûte une fraction de ce que vous paieriez au Canada, et où les soins de santé privés ne sont pas seulement abordables, mais de classe mondiale. Dans ces pays, votre richesse n’est pas un fardeau, mais un billet pour une vie de confort et de liberté inégalée. Fini d’être submergé par des taxes et des réglementations excessives. Pour les entrepreneurs, surtout à l’ère numérique, ces endroits offrent une opportunité en or de vivre dans le luxe tout en développant leurs affaires à l’échelle mondiale, sans que le gouvernement ne soit constamment en train de piger dans leurs poches.
Ce n’est pas seulement une question d’économies : il s’agit de vivre selon vos propres termes, loin de l’emprise toujours plus serrée de la bureaucratie canadienne. Ces pays n’offrent pas seulement une amélioration du style de vie, ils offrent plus de liberté.
3. Perte progressive des libertés
Ces dernières années, les Canadiens ont assisté à une inquiétante érosion des libertés personnelles, en particulier pour ceux qui osent s’opposer au discours dominant. Pendant la pandémie de COVID-19, de nombreux citoyens ont vécu de près les mesures agressives prises par le gouvernement. Les manifestants pacifiques — surtout ceux qui exprimaient ouvertement leurs convictions — ont vu leurs comptes bancaires gelés, montrant clairement que l'opposition ne serait pas tolérée. Ce niveau de contrôle sur les actifs personnels a été un signal d’alarme pour beaucoup, révélant la fragilité de leur sécurité financière face aux agendas politiques.
Le problème dépasse les politiques liées à la pandémie. L’augmentation de la taxe sur le carbone, les mesures de surveillance intrusive et la régulation croissante des actifs étrangers par le gouvernement canadien ont laissé de nombreux citoyens prospères se sentir piégés. Ils voient un gouvernement de plus en plus impliqué dans leur vie, limitant non seulement leur capacité à exprimer librement leurs opinions, mais aussi leur droit à protéger leur patrimoine. En réponse, beaucoup ont choisi de chercher refuge dans des pays à la position plus conservatrice, où les libertés personnelles et économiques sont plus valorisées et protégées.
Pour les plus riches, la peur de perdre le contrôle de leurs biens ou d’être pénalisés pour avoir défié l'ordre établi est bien réelle. S’expatrier n’est pas seulement une question de payer moins d’impôts ou de profiter d’un meilleur climat : il s’agit de reprendre leur autonomie. En déménageant dans des pays où les libertés individuelles sont une priorité, ces Canadiens peuvent vivre sans la menace constante d’interférence gouvernementale dans leurs finances, leurs entreprises ou leur vie personnelle.
Un nouveau départ
Quitter le Canada est une occasion de se libérer des contraintes fiscales et réglementaires qui limitent le succès entrepreneurial. En déménageant à l’étranger, vous pouvez vivre dans un pays qui valorise l’innovation et où votre travail acharné est récompensé plutôt que pénalisé. Cela offre la possibilité de profiter d’un meilleur pouvoir d’achat, d’un climat plus agréable et d’une plus grande liberté personnelle et financière.
Cependant, ce nouveau départ nécessite une planification soigneuse pour éviter des complications telles que l’impôt de sortie sur les gains en capital non réalisés et la double imposition. Il est crucial de travailler avec des professionnels qualifiés pour assurer une transition conforme aux lois, afin que votre rêve ne se transforme pas en cauchemar. Ne laissez pas la complexité vous freiner : avec la bonne stratégie, une meilleure vie vous attend au-delà des frontières canadiennes.
Attention : Les informations contenues dans cet article sont simplifiées à des fins d'information générale et incluent des exceptions. Les lecteurs ne devraient pas entreprendre ou s’abstenir d’entreprendre des actions basées sur les informations fournies sans avoir d’abord consulté un avocat. Pour des conseils personnalisés concernant votre situation, nous vous invitons à réserver une consultation gratuite ci-dessous.
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